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Recherche par mot-clé: ESSAI

1814 résultats. Page 53 sur 91.

Lu par : Marie Coeugnet
Durée : 16h. 35min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 67607
Résumé:Un recueil réunissant les essais que l'auteur américain a consacrés au métier d'écrivain et à son rapport à la littérature. Il présente les coulisses de son travail, évoque les controverses suscitées par ses romans et raconte des anecdotes personnelles.
Durée : 8h. 6min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 67777
Résumé:Frédéric Gros considère la marche comme un acte philosophique, une expérience spirituelle. Dans cet ouvrage, à travers une série de méditations philosophiques, nous explorons les différentes manières de marcher et ce qu'elles impliquent. Ainsi, les dimensions mystiques et culturelles de cet exercice sont abordées telles que l'éternité, la solitude, la lenteur, le pèlerinage et la flânerie.
Durée : 4h. 28min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 67646
Résumé:Une angoisse nous hante : être en retard. Nous vivons notre vie quotidienne, notre travail, l’éducation de nos enfants, et même nos vacances dans une telle crainte du retard que nous finissons par être en avance sur tout, par tout anticiper. Nous avons perdu le sentiment du temps, et avec celui-ci le sentiment de notre existence. Être en retard, c’est faire l’école buissonnière, prendre des chemins de traverse, ne pas aller droit au but, c’est introduire d’infimes variations qui peuvent faire dérailler les rouages bien huilés de nos vies trop machinales. C’est finalement vivre. Face aux valeurs dominantes de nos sociétés modernes – fluidité, flexibilité, urgence et vitesse – et aux pathologies qui en découlent, le retard, un « laps » de temps qui nous permet de ressaisir notre condition temporelle, devient une véritable stratégie de résistance.
Lu par : Patrick Langlois
Durée : 7h. 21min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 67602
Résumé:Douze essais autobiographiques dans lesquels l'écrivain japonais dévoile les ficelles de ses créations, s'interroge sur l'avenir du livre ou prodigue des conseils aux auteurs en herbe. "Ecrire un roman n'est pas très difficile. Ecrire un roman magnifique n'est pas non plus si difficile. Je ne prétends pas que c'est simple, mais ce n'est pas non plus impossible. Ce qui est particulièrement ardu, en revanche, c'est d'écrire des romans encore et encore, sur une longue durée. Tout le monde n'en est pas capable. Comme je l'ai déjà dit, il faut disposer d'une capacité particulière, qui est certainement un peu différente du simple " talent ". Bon, mais comment savoir si l'on possède cette aptitude ? Voici la réponse : sautez dans l'eau et voyez si vous nagez ou si vous coulez. Une façon de parler rude, certes, mais au fond, la vie, c'est comme ça. Par ailleurs, rien n'empêche ceux qui n'ont pas besoin d'écrire de roman, (ou qui préfèrent ne pas en écrire) de mener une vie sage et parfaitement valable. Et ceux qui veulent écrire, qui ne peuvent supporter de ne pas écrire, ceux-là écriront des romans. Et continueront à écrire. En tant que romancier, je les accueille bien volontiers. Bienvenue sur le ring !"
Lu par : Carole Beuron
Durée : 1h. 54min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 67652
Résumé:Essai sur la vision du monde actuel dans l'esprit humain. Auparavent, l'histoire guidait la pensée, les espérances et les peurs. Aujourd'hui, l'angoisse écologique amène un nouvel oeil sur notre civilisation. L'auteur analyse alors la lutte de l'esprit dans ce nouveau jour, ce siècle vert.
Lu par : Carole Beuron
Durée : 5h. 46min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 67771
Résumé:Dans ce livre, Neil Postam propose d’analyser la place dominante qu’a pris le divertissement dans l’espace public et l’impact des médias sur une société contemporaine vouée à la distraction. Refusant les thèses de la manipulation, il montre que les médias, et en particulier la télévision, agissent moins en fonction des contenus qu’ils transmettent qu’à travers la forme de cette transmission : celle de programmes dont le rôle essentiel est le divertissement. Comparant les deux sinistres prophéties de 1984 d’Orwell et du Meilleur des mondes d’Huxley, Postman expose comment nous en venons à adorer les technologies qui détruisent notre capacité de penser.
Lu par : Irène Rousseau
Durée : 3h. 33min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 67685
Résumé:Le député lance un cri d'alarme face à l'urgence climatique et sociale de ce début de XXIe siècle. Selon lui, seul un véritable front populaire écologique serait capable de défendre l'intérêt général face aux multinationales dont les ramifications s'étendent jusqu'au sommet des Etats.
Lu par : Elisabeth Celton
Durée : 9h.
Genre littéraire : Histoire/géographie
Numéro du livre : 67741
Résumé:Le 5 août 1392, Charles VI chevauche en forêt du Mans. L'irruption d'un mendiant et la chaleur provoquent une hallucination et le roi se rue sur son frère Louis. Roi depuis douze ans, il régnera encore pendant trente années, sans que l'amour de ses sujets pour lui ne diminue, et sans gouverner. L'historien s'interroge sur le rapport à la folie que l'époque pouvait entretenir.
Lu par : Laurence Bizeul
Durée : 5h. 30min.
Genre littéraire : Sciences/technologie
Numéro du livre : 67780
Résumé:Qu’est-ce que serait un territoire du point de vue des animaux ? Vinciane Despret mène l’enquête auprès des ornithologues. Ce qui l’intéresse c’est d’observer la naissance et le développement de l’intérêt que les scientifiques portent aux oiseaux. On découvre que, plus on étudie les oiseaux, plus les choses se compliquent. De nouvelles manières de faire territoire apparaissent, bien plus complexes que les ornithologues ne pouvaient l’imaginer. Et si ces manières n’étaient que du spectacle, des parades? Et si l’on prêtait attention au fait que les territoires sont toujours collés les uns aux autres? Ne seraient-ils pas, alors, une façon pour les oiseaux de continuer à vivre ensemble en étant autrement organisés ?
Durée : 3h. 15min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 67641
Résumé:Cet essai, consacré à Sade, examine les facettes de la vie et de l'oeuvre de l'homme de lettres longtemps controversé. G. Macé présente le marquis de Sade comme un précurseur de l'anthropologie et met en avant sa curiosité insatiable, en ce qu'il a comparé les croyances et les coutumes de tous les peuples, sans préjugés, et en alliant la sexualité à un athéisme radical.
Durée : 7h. 7min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 67768
Résumé:Repenser la religion, aujourd’hui. Ce livre varie sur les deux origines du mot religion, l’une probable, l’autre usuelle : relire et relier. Il ne cesse, en effet, de relire les textes sacrés tout en cheminant le long des mille et une voies qui tissent le réseau global de nos vies, de nos actes, de nos pensées, de nos cultures. En cela, il conclut quelques décennies d’efforts consacrés à lier toutes opérations de synthèse. À l’âge analytique – celui des divisions, décompositions, destructions, y compris celle de notre planète – succède celui de la synthèse et de la reconstruction. Nos problèmes contemporains ne peuvent trouver que des solutions globales.
Durée : 13h. 15min.
Genre littéraire : Arts
Numéro du livre : 67697
Résumé:Les séries télévisées sont aujourd'hui plus fascinantes que jamais, capables de déployer des intrigues au long cours et des mondes fictionnels denses et sans limites. Ce livre explore les évolutions narratives qui ont façonné les oeuvres contemporaines, et cherche à percer les secrets de l'écriture des séries les plus feuilletonnantes. Comment une série peut-elle tenir sur la durée ? De quelles façons s'organisent les multiples fils de l'intrigue ? Comment les scénaristes parviennent à jongler entre improvisation et planification du récit ? Au-delà des débuts souvent hésitants et des fins difficiles à prévoir, c'est toute l'immensité de ces oeuvres hors-normes qui est analysée à partir de séries culte des années 1990 à nos jours. Ce livre montre qu'une série doit trouver son chemin, et que le scénariste cherche la boussole qui lui révélera le "vrai nord". Au programme : Lost, Babylon 5, Battlestar, Breaking bad, X-Files, Buffy contre les vampires, Game of thrones, How I met your mother, The Mentalist, Black Mirror...
Durée : 57min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 67655
Résumé:On a aujourd’hui rarement un emploi stable avant 29 ans et un enfant avant 30 ans. Autant dire qu’entre les premières amours, les premiers petits boulots et l’âge adulte s’écoule une décennie. Longue jeunesse. Chemin sinueux pour apprendre «?à apprendre?», «?à aimer?», «?à voyager?» et «à travailler?». Y a-t-il encore un ordre idéal?? Comment devenir adulte en «?société mobile?»?? Jean Viard propose dans ce court texte des pistes pour que, cinquante ans après mai 1968, une politique de la jeunesse devienne un enjeu de société et de démocratisation essentiel.
Lu par : Marc Levy
Durée : 4h. 19min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 67686
Résumé:Une réponse aux dix préjugés sur la crise économique de 2007-2008, notamment à propos du rôle des banques et de l'endettement public. L'auteur propose de tirer les leçons de cette crise afin d'en éviter une nouvelle qui serait plus grave.
Lu par : François Goy
Durée : 5h. 57min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 67683
Résumé:L'auteure confronte les sources de la tradition musulmane sunnites et shiites pour évoquer les guerres d'apostasie, durant lesquelles les musulmans s'entretuent et qui constituent la première grande épreuve du Califat. Le général Khalid ibn al-Walid est à la tête des armées du calife, poursuivant à travers toute l'Arabie les tribus refusant l'islam.
Durée : 4h.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 67687
Résumé:Le vide, dit-on ordinairement, est ce qui reste après qu'on a tout enlevé. Mais si l'on retirait absolument tout, il ne resterait plus rien... du tout. Pas même le vide. Alors peut-on réellement Faire le vide ? Au demeurant, le vide existe-t-il vraiment ? A-t-il même jamais existé ? Le vide, c'est à la fois tout un monde et toute une histoire. Une histoire pleine d'idées, de concepts, de délires aussi. A l'image du temps et de la matière, le vide a hanté les philosophes et les physiciens, qui parlent rarement de la même chose. Chez les premiers, il a dès l'Antiquité donné lieu à d'intenses débats au sujet du néant, du non-être, du rien. Chez les seconds, le vide est devenu un objet d'expérimentations, et son existence, du moins celle d'un certain vide, a été prouvée au milieu du XVIIe siède et a contribué à la naissance de la physique dite "moderne". Depuis, chaque nouvelle théorie propose "son" vide. Etienne Klein mène l'enquête, traverse l'histoire des idées, interroge les mots. Et il apparaît que la vie du vide est contre toute attente une vie dense. De plus en plus dense à mesure que la physique progresse. Au XXIe siècle, toutes sortes de vides cohabitent houleusement, de la substance subtile au vide quantique, arrière-monde renfermant la source secrète de la matière, en passant par les ressorts intimes de la dynamique de l'Univers... La question du vide serait-elle en passe de devenir le plus grand défi de la physique contemporaine ?
Lu par : Monique Gay
Durée : 10h. 15min.
Genre littéraire : Philosophie/religion/spiritualité
Numéro du livre : 66963
Résumé:La Terre est ronde : tout le monde le sait. Pourtant, pour nos ancêtres, elle était plate. Leur savoir était-il inférieur au nôtre? Et aujourd'hui encore, que savons-nous véritablement? Dans notre monde rationnel, peut-on s'affranchir des croyances? De la science à la religion ou aux mythes, de l' horoscope à la superstition ou aux sondages, Henri Atlan décline les mille facettes des croyances : elles demeurent un rouage essentiel de notre rapport au monde, une articulation fondamentale de la pensée, indispensables à la connaissance, à l'intelligence et à la liberté.
Lu par : Clélia Strambo
Durée : 5h. 44min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 66950
Résumé:Les plus belles histoires d’amour de l’Antiquité. Du ciel à la terre, de Zeus à César Les émotions ont-elles une histoire ? L’amour est-il un sentiment immuable ? Pour y répondre, Eva Cantarella nous invite à revenir vers les Grecs et les Romains, nos ancêtres à la fois proches et lointains. Cette pittoresque peinture des mœurs des Anciens fait renaître les amoureux les plus célèbres de la mythologie grecque, Orphée et Eurydice, Ariane et Thésée, Médée et Jason, sans oublier les innombrables aventures extraconjugales de Zeus, le premier prédateur sexuel. Elle nous donne aussi l’occasion de partager l’intimité de personnages tout aussi illustres mais bien réels, qui ont laissé leur empreinte dans l’histoire romaine : Caton et Marcia, Lucrèce et Collatin, Livie et Auguste, sans compter César, le séducteur par excellence, « le mari de toutes les femmes et la femme de tous les maris ». À la lumière du mythe et de l’histoire, Eva Cantarella souligne les similitudes mais aussi les différences dans la manière de concevoir et de vivre, d’une société à l’autre et de l’Antiquité à nos jours, un sentiment aussi complexe que l’amour.
Lu par : André Cortessis
Durée : 3h. 17min.
Genre littéraire : Société/économie/politique
Numéro du livre : 66941
Résumé:En mission pour l’ONU, Jean Ziegler s’est rendu en mai dernier à Lesbos, cette île grecque qui abrite le plus grand des cinq centres d’accueil de réfugiés en mer Égée. Sous la haute autorité de l’Union européenne, plus de 18 000 personnes y sont entassées dans des conditions inhumaines, en violation des principes les plus élémentaires des droits de l’homme. Le droit d’asile y est nié par l’impossibilité même dans laquelle se trouvent la plupart des réfugiés de déposer leur demande ; le droit à l’alimentation, quand la nourriture distribuée est notoirement avariée ; le droit à la dignité, quand les rats colonisent les montagnes d’immondices qui entourent le camp officiel, quand les poux infestent les containers dans lesquels les familles doivent s’entasser ; les droits de l’enfant, quand la promiscuité livre les plus vulnérables aux violences sexuelles et les prive, bien sûr, de tout accès à l’éducation. La honte de l’Europe. Pour la plupart, ces réfugiés sont venus d’Irak, de Syrie, d’Afghanistan, d’Iran. Ils évoquent ici leur long calvaire : la torture, l’extorsion, le pillage, les passeurs infâmes, les naufrages, les familles décimées, les tentatives de refoulement de Frontex et des garde-côtes grecs et turcs. Les responsables du camp disent leur point de vue, les militants des organisations humanitaires expliquent les obstacles qu’il leur faut lever au quotidien pour sauver des vies. Le dossier est accablant. Jean Ziegler s’indigne, alerte et exige.
Durée : 2h. 42min.
Genre littéraire : Essai/chronique/langage
Numéro du livre : 66910
Résumé:Dans le sillage des Pensées de Pascal citées en exergue, Bleuets est un objet hybride quelque part entre l’essai, le récit, le poème. Deux cent quarante fragments composent cette méditation poétique, intime et obsessionnelle autour d’une couleur, le bleu. Le deuil, le sentiment amoureux, la mélancolie sont autant de thèmes chers à Maggie Nelson ici abordés dans une maïeutique convoquant l’art et la beauté entre deux digressions introspectives ou savantes, des fantasmes de l’auteure à des approfondissements autour de la pensée de Platon ou de Goethe, en passant par l’oeuvre d’un Warhol ou d’un Klein ou la musique de Leonard Cohen. Laissons-nous séduire par cette déclaration d’amour fou à une couleur, un livre à ranger précieusement entre les Fragments d’un discours amoureux de Roland Barthes et Notre besoin de consolation est impossible à rassasier de Stig Dagerman. « Et si je commençais en disant que je suis tombée amoureuse d’une couleur. Et si je le racontais comme une confession ; et si je déchiquetais ma serviette en papier pendant que nous discutons. C’est venu petit à petit. Par estime, affinité. Jusqu’au jour où (les yeux rivés sur une tasse vide, le fond taché par un excrément brun et délicat enroulé sur lui-même pareil un hippocampe), je ne sais comment, ça a pris un tour personnel. »